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Venus de treize clubs de tir du Grand-Ouest, 51 tireurs ont participé, samedi et dimanche, au challenge de tir aux armes anciennes organisé comme tous les ans par la Carabine bigoudène. Ils ont tiré dans pas moins de dix-sept disciplines déterminées en fonction des caractéristiques techniques de chaque arme. Des carabines et arquebuses à 50 m aux pistolets et revolvers à 25 m et même des modèles réduits de pièces d'artilleries anciennes, eux aussi à 25 m.
« Une affaire de spécialistes », reconnaissent les tireurs aux armes modernes du club plonéouriste. Thierry Pinaud, président de la Carabine bigoudène et pratiquant de cet art, préfère lui parler de « passionnés ». « On tire avec des répliques ou des armes d'origine », explique-t-il. Mais avoir une arme ancienne ne suffit pas. « Les tireurs fabriquent leurs balles et travaillent leurs poudres. Ça touche parfois à l'alchimie », poursuit-il en sortant de l'étui son arme à silex. D'autres tirent avec des armes à mèche ou à percussion. L'ambiance est aussi « plus conviviale », considère Thierry Pinaud au milieu des collectionneurs qui commentent les tirs en cours. Mécanique et « recettes de cuisine » sont au coeur des discussions.
Quatre ans après son dernier sacre, en Coupe du monde à Pékin au pistolet 10 mètres, Céline Goberville a remporté samedi le titre sur la même distance lors du championnat d'Europe, disputé à Gyor (Hongrie). La Française a signé le meilleur score (240,2 pts) devant deux Serbes, Zorana Arunovic et Bobana Velickovic. Sandrine, la soeur de Céline Goberville a elle terminé 22e de l'épreuve.
Céline Goberville s'était fait connaître du grand public en 2012, à Londres, lorsqu'elle avait remporté la médaille d'argent au pistolet 10 mètres. Elle avait ensuite remporté le titre européen, son deuxième après 2011, à Odense (Danemark), en 2013. En 2016, à Rio, elle avait échoué à se qualifier pour la finale.
Y a-t-il une seule épreuve qui convienne mieux à Martin Fourcade que la poursuite ? On demande à voir. Lundi, sur la neige de Pyeongchang, le porte-drapeau français a une fois de plus prouvé qu’il disposait de ressources mentales inépuisables en comblant d’abord un retard de 22 secondes au départ, puis en mettant une tannée à la concurrence pour chercher sa deuxième médaille d’or olympique de la spécialité et égaler Jean-Claude Killy.
Le plus flippant dans cette histoire, c’est qu’on savait pertinemment que ça se passerait comme ça. Fourcade ne tombe jamais deux fois de suite – et Johannes Boe du haut de sa 21e place en est sans doute jaloux. Mais cette fois, les apparences sont trompeuses. La deuxième médaille d’or française de ces JO de Pyeongchang a tenu peu de chose. À trois détails, pour être précis.
Au cours de ce mois de février 2018, le club de tir de Plonéour-Lanvern a participé aux championnats de France de tir et au championnat régional des clubs par équipe.
Au championnat de France de tir à 10 mètres, du 6 au 10 février à Tarbes, la Carabine Bigoudenne a envoyé un carabinier et deux pistoliers. A la carabine, Alain Marschall a réalisé un score de 583,8 et s'est classé 25ème, au pistolet précision Quentin Lousssouarn a réalisé un score de 531 et s'est classé 48ème, et au pistolet vitesse et au pistolet standard Julien Lefilleul a réalisé des scores 20 et 333 et s'est classé respectivement 55ème et 109ème.
Les championnats régionaux de tir par équipe se sont déroulés à Ploemel le 18 février. La Carabine Bigoudenne y a délégué une équipe de 5 pistoliers (Patrick Dantec, Julien Lefilleul, Quentin Loussouarn, Frédéric Bodard, Franck Tanguy) qui s'est classée deuxième à la suite d'un match de classement, d'une demi-finale et d'une finale.
le club de tir de Plonéour-Lanvern termine donc la saison de tir à l'air comprimé par un bon résultat par équipe, après avoir remporté le championnat départemental, et douze médailles en tout dont six titres départementaux.
1«On nous annonce des conditions compliquées, il faudra faire avec ! Le froid, je m’en moque un peu. A nous de faire en sorte de ne pas en souffrir.» Pas question pour Martin Fourcade, qui se lance ce dimanche à 12h15 (heure française) avec le sprint (10km) dans la première de ses six épreuves, de se laisser disperser. «Je suis là avec de très grosses ambitions», insiste celui qui pourrait rejoindre Jean-Claude Killy dans la légende (3 médailles d’or lors des mêmes JO). Froid, vent, nuit : rien ne fait peur au double champion olympique qui est monté 15 fois sur le podium en 15 courses cet hiver et se méfie surtout de Johannes Boe, le Norvégien qui a plus gagné que lui depuis décembre (6 victoires à 8).
Gérer le froid. «Il y a tout ce qu’il faut dans la valise», résume Martin Fourcade. A commencer par «des gants de trois doigts au lieu de cinq, une cagoule, un sous-collant que je ne mets pas d’habitude», détaille le Français qui a prévu de s’échauffer «avec des surchaussures et des surgants». «Ces derniers jours, j’ai aussi skié avec une sorte de plastron que j’avais acheté en 2011 et que je n’avais porté qu’une fois depuis. Je l’ai toujours dans mon sac au cas où, car ces températures-là peuvent arriver n’importe quand.» Si le thermomètre descend largement en dessous de zéro, le double champion olympique sait que la course sera «très particulière». «Le froid créé une sorte d’enveloppe qui fait que les gestes sont moins précis. L’échauffement sera primordial. Le biathlète qui prend le départ en ayant froid est mort.»
Lire la suite : JO 2018 : comment Martin Fourcade s’est préparé
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